The set Der Poesie der Baustellen (The poetry of construction sites) is capturing this image of this heterotopic
transitional space which are construction sites, immobilized between past and future.
The chaos of tools and raw materials on their seeming disorder and no-finitude, are building strange associations. The bare earth with its ochre tones reminds us that underneath the concrete hides an organic and mineral world.
This chaos is coming for a moment in the space of our cities, rushing rules and organized space from European cities. This open emptiness are inviting us to dream of the possibilities, of the future of cities and public space as they are the subject of speculation.
Le cycle Der Poesie der Baustellen (La poésie des chantiers) capte cette image ces espaces hétérotopiques de transition qui sont des chantiers de construction, immobilisés entre le passé et le futur.
Le chaos des outils et des matières premières sur leur apparente désorganisation et leur non-finitude, construisent d’étranges associations. La terre nue avec ses tons ocres rappelle que sous le béton se cache un monde organique et minéral.
Ce chaos vient un instant dans l’espace de nos villes, précipitant les règles et l’espace organisé de des villes européennes. Ce vide ouvert nous invite à rêver des possibilités, de l’avenir des villes et l’espace publique puisque qu’ils font l’objet de spéculations.